Le jour se lève sur Koh Lanta et nous aussi. Nous prendrons notre petit déjeuner au bord de l'eau, et nous en profitons pour réserver deux autres nuits sur place (600 bahts maintenant, n'hésitez pas à négocier, surtout si vous restez plusieurs nuits !)
Un scooter sur le bord du chemin nous tente : allez hop, le reste de la journée, nous allons visiter l'île de cette façon. La première difficulté est de trouver de l'essence... Ne cherchez pas nos vieilles stations essences européennes, non non, cherchez plutôt de vieilles bouteilles de coca jaunes sur le bord de la route !
Ce scooter tout terrain va nous permettre de faire un rapide tour de l’île. Impossible de suivre les panneaux de signalisation, nous nous contenterons des hôtels pour nous repérer. En tant que « bon touriste », nous sommes partis tongs aux pieds dans les rues de Koh Lanta. Nous ne savions pas encore que celles-ci allaient nous mener tout droit à la grotte de Kao Mai Kaeo.
Qu’est-ce qu’on fait ? On y va ? On n’y va pas ? Un guide est là pour nous montrer le chemin et nous voilà partis à travers la jungle pour une bonne heure de marche en crapahutant. La chaleur ambiante n’a pas eu raison de nous, nous sommes arrivés à l’entrée de la grotte, trempés et dégoulinants de sueur, mais cela nous a permis de faire la connaissance avec deux jeunes allemands, qui ont toujours le mot pour rire.
On rentre dans la grotte, chacun équipé d’une lampe frontale, c’est assez impressionnant. On avance, grimpe, se tortille, toujours sous les conseils avisés du guide. A plusieurs reprises, il nous dit que nous sommes à 30 mètres sous terre, nous lui faisons entièrement confiance, on n’est pas certain de pouvoir retrouver la lumière de nous-mêmes.
Nous croisons d’ailleurs sur notre chemin toute une bande de chauves-souris qui ont envahi les lieux.
Finalement, nous finissons allongés à terre, rampant pour rejoindre la sortie, nous trainant dans l’humidité boueuse de la grotte. Mais nous sommes heureux d’apercevoir enfin la sortie après une heure qui semblait interminable!!
Nous repartons dans la jungle, bien contents de notre visite mais « une seule ça suffira ! » et nous reprenons la route avec notre scooter, nous allons jusqu’à la pointe sud de l’île. Les routes goudronnées vont bientôt disparaître pour laisser place à de simples chemins de terre. La circulation se fait rare, on devine que les lieux ne sont pas très fréquentés par les touristes. Un petit singe traverse la route devant nous. Pas le temps de négocier avec lui une photo, il s’engouffre dans la jungle. Malheureusement, le temps se couvre, les nuages apparaissent à l’horizon et avancent vers nous à une vitesse surprenante.
Un scooter sur le bord du chemin nous tente : allez hop, le reste de la journée, nous allons visiter l'île de cette façon. La première difficulté est de trouver de l'essence... Ne cherchez pas nos vieilles stations essences européennes, non non, cherchez plutôt de vieilles bouteilles de coca jaunes sur le bord de la route !
Ce scooter tout terrain va nous permettre de faire un rapide tour de l’île. Impossible de suivre les panneaux de signalisation, nous nous contenterons des hôtels pour nous repérer. En tant que « bon touriste », nous sommes partis tongs aux pieds dans les rues de Koh Lanta. Nous ne savions pas encore que celles-ci allaient nous mener tout droit à la grotte de Kao Mai Kaeo.
Qu’est-ce qu’on fait ? On y va ? On n’y va pas ? Un guide est là pour nous montrer le chemin et nous voilà partis à travers la jungle pour une bonne heure de marche en crapahutant. La chaleur ambiante n’a pas eu raison de nous, nous sommes arrivés à l’entrée de la grotte, trempés et dégoulinants de sueur, mais cela nous a permis de faire la connaissance avec deux jeunes allemands, qui ont toujours le mot pour rire.
On rentre dans la grotte, chacun équipé d’une lampe frontale, c’est assez impressionnant. On avance, grimpe, se tortille, toujours sous les conseils avisés du guide. A plusieurs reprises, il nous dit que nous sommes à 30 mètres sous terre, nous lui faisons entièrement confiance, on n’est pas certain de pouvoir retrouver la lumière de nous-mêmes.
Nous croisons d’ailleurs sur notre chemin toute une bande de chauves-souris qui ont envahi les lieux.
Finalement, nous finissons allongés à terre, rampant pour rejoindre la sortie, nous trainant dans l’humidité boueuse de la grotte. Mais nous sommes heureux d’apercevoir enfin la sortie après une heure qui semblait interminable!!
Nous repartons dans la jungle, bien contents de notre visite mais « une seule ça suffira ! » et nous reprenons la route avec notre scooter, nous allons jusqu’à la pointe sud de l’île. Les routes goudronnées vont bientôt disparaître pour laisser place à de simples chemins de terre. La circulation se fait rare, on devine que les lieux ne sont pas très fréquentés par les touristes. Un petit singe traverse la route devant nous. Pas le temps de négocier avec lui une photo, il s’engouffre dans la jungle. Malheureusement, le temps se couvre, les nuages apparaissent à l’horizon et avancent vers nous à une vitesse surprenante.
