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On repense à tous les bons souvenirs qu'on gardera de ce voyage....

- notre Open Water et les plongées superbes qu'on a faites ici
- les plages magnifiques 
- les tigres et tigrous qu'on a approchés
- le trek de 3 jours sous un soleil de plomb
- les éléphants 
- les massages
- la nourriture thaïlandaise et surtout les jus de fruits frais
- la vie pas chère
- la gentillesse des gens 
Les thaïs ont toujours le sourire, et c'est vraiment que du bonheur.

Mais il y a quand même un "mais" :
- la chaleur combinée à la pollution dans les grandes villes
- les piétons qui peuvent attendre un quart d'heure pour traverser sans que jamais personne ne s'arrête (même sur un passage piétons)
- les "arnaques", spécialement à Bangkok : pleins de pièges à touristes, qui peuvent faire perdre du temps et de l'argent (heureusement, on a évité ça...)
- les moustiques, même si notre "5 sur 5" était très efficace...
- les manifestations, les chemises rouges, surtout ce dernier jour.
 
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Une fois à Bangkok, nous rejoignons notre hôtel du premier jour pour y déposer nos bagages. Le trafic est un peu difficile sur la route, de nombreux « chemises rouges » bloquent des avenues entières et obligent les tùk tùk à passer par de petites ruelles.
Nous décidons de consacrer notre journée au shopping et nous allons au MBK Center, grand centre commercial de Bangkok composé de pas moins de 2500 magasins. Effectivement, c’est grandiose, on a vite fait de se perdre !

A midi, nous faisons une petite pause bien méritée pour manger un fried rice pineapple with seafood. Seule la moule énorme ne fera pas fureur, le reste est délicieux ! On se prépare à notre changement de rythme alimentaire avec la suite de notre voyage...

Nous retournons aussi à Khao San Road, la toute première rue qu’on a découverte en débarquant ici. On se rend compte que l’on a bien "grandit" depuis ces 3 semaines, tout cela nous parait maintenant bien familier, et plutôt assez éloigné de l'ambiance thaïlandaise que l'on peut retrouver ailleurs.

Vous avez besoin d'une carte étudiant, d'un nouveau permis de conduire ou d'un diplôme en particulier? Tout se trouve sur Khao San Road... (merci au zoom de m'avoir permis de prendre cette photo... )

Un dernier massage dans notre ruelle, on apprécie beaucoup, c’est très relaxant avec la petite musique d’ambiance et les lumières tamisées. Puis on rigole avec les masseuses qui nous offrent le thé, et nous prenons quelques photos pour immortaliser le moment.Voilà, ça devait arriver, nous devons prendre notre avion ce soir. Nos dernières heures en Thaïlande. On prépare notre sac, notre taxi nous attend. Nous avons pris 3 heures pour assurer notre transport jusqu'à l'aéroport... Et nous avons quand même failli frôler la catastrophe en arrivant un quart d'heure avant la fin de l'embarquement. La cause? Le mouvement des "chemises-rouges" a pris une ampleur inattendue : Alors qu'on galére pendant 3h dans notre taxi, de nombreuses personnes ont été blessées et d'autres tuées dans les manifestations. Le chauffeur de taxi est tendu, et alors que nous sommes coincés derrière les manifestants et l'armée qui tente de maîtriser la situation, il nous demande de quitter le véhicule "Je ne peux pas assurer le service !!" Non, pas question, on reste ! On paiera le prix qu'il faudra mais nous y arriverons. Le chauffeur, digne du film français Taxi, n'hésite pas à engager un bon 140 km/h pour rejoindre l'aéroport une fois sortis des bouchons... Sauvés ! Epuisés, mais rassurés de pouvoir prendre comme prévu notre prochain vol Emirates !

Pourtant, nous avons une pensée pour les thai, ce soir. Certains de nos amis du trek ont assisté à des scènes d'horreur... Nous sommes contents de ne pas avoir vu ça, nous espérons que tout va rentrer dans l'ordre et... On se revoit en Australie pour la suite du trip.

 
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Notre séjour à Chiang Mai touche à sa fin, nous prenons le train de nuit pour Bangkok en fin d'après-midi... En attendant, nous décidons de visiter le Maesa Elephant Camp, là où se trouve l'un des plus grands rassemblements d'éléphants dans le nord de la Thailande. 

Ces derniers ont des capacités extraordinaires, loin de ce qu'on pourrait imaginer... Nous avions dans l'idée que ce sont des animaux patauds qui aiment se rouler dans l'eau et s'asperger de terre. Nous en découvrons bien davantage : ils sont très joueurs, n'hésitent pas à voler la casquette des touristes pour les donner à leur mahout. Les mahouts, ce sont les maîtres, guides, soigneurs qui ne s'occupent que d'un éléphant au cours de leur vie, de manière à développer une relation particulière avec lui...

Le spectacle permet d'apprécier plusieurs numéros de cirque, tous plus étonnants les uns que les autres : on voit les éléphants jouer de l'harmonica, lancer des fléchettes, tirer dans un ballon de foot... Ce qui nous a le plus épaté, les voir avec un pinceau au bout de la trompe ! Les peintures sont surprenantes...

 
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Ensuite, nous allons à la gare, la chaleur est toujours insupportable, la circulation en tùk tùk difficile tellement l’air est chaud et pollué. On retient son souffle, on serre nos sacs contre nous et on croise les doigts pour arriver entier ! 

Nous prenons le temps de manger juste avant notre départ en train. Puis le paysage se met à défiler. Les heures aussi. Le train n'est pas des plus rapides, ce qui nous permet d'admirer les alentours...Une personne passe pour faire nos lits et nous sommes bien installés pour dormir cette nuit. Des enfants thaï prennent leur douche dans le train avant de se mettre en pyjama et au lit. L’ambiance est vraiment agréable. Nous ne regrettons pas notre choix de prendre le train de nuit plutôt que le bus pour ce dernier long trajet, une expérience inoubliable, nous avons bien fait de réserver à l'avance, le train est vite complet...

La nuit s'est très bien passée, les contrôleurs tournent, pistolets en poche, toute la nuit. Nous nous réveillerons vers 6h du matin après une bonne nuit de sommeil. Les lits sont remis en place et le train reprend la forme d'un train de jour normal. Nous devons arriver à 6h40. Pensez-vous que les trains thaïlandais sont à l'heure?? Eh bien, le notre non... En effet, nous nous arrêtons au milieu de nulle part. Pourquoi? Personne encore ne le sait. 

Au bout d'une bonne vingtaine de minutes, on apprend par nos voisines qu'un homme est décédé dans un wagon (erf... sans doute a-t-il été retrouvé mort dans sa couchette) et que le train ne peut pas continuer sa route, un médecin doit venir examiner le corps. Nous prenons nos affaires, traversons les voies pour monter dans un autre train, selon les ordres des contrôleurs.

L'autre train s'arrête à toutes les "gares" minuscules qui existent jusqu'à Bangkok. Enfin, "gare" est un grand mot, il s'arrête plutôt n'importe où, et les gens descendent, traversent les voies, au milieu de nulle part. Sans information, nous avons d'ailleurs failli descendre au mauvais endroit !! Quelques pneus, une planche en bois posée dessus, voilà un banc parfait situé à 50 cm des voies et les trains passent de chaque côté. Ne cherchez pas, vous êtes dans une gare thailandaise !!

On passera la fin du trajet, debout entre deux wagons, à prendre le soleil et l'air "chaud" du matin. Nous voilà enfin à Bangkok, de retour dans la capitale Thaïlandaise...

 
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Cette nuit, nous avons été bercés au rythme de la rivière qui coule le long de notre cabane. Mais lorsque nous ouvrons les yeux, une surprise nous attend dehors. Les éléphants nous ont rejoint et après le petit déjeuner, une balade sur leur dos s’impose. Hey, il y a aussi bébé éléphant !!

Des sacs en toile ont été mis sur leur dos pour fixer le siège. Nous nous installons pas très rassurés et une barre vient nous bloquer pour éviter de glisser. Pratique. Finalement, on se rend assez vite compte que notre éléphant est digne de confiance. 

Nous partons pour une heure de balade et sans aucun doute maintenant, un éléphant peut passer partout. Petits chemins escarpés, broussailles, jungle, boue, rivière, nous avons tout fait. Le notre aime particulièrement la boue et n’hésite pas à prendre les chemins les plus difficiles, à s’en mettre plein les pattes et plein la trompe et nous, sur son dos, avons échappé au pire… Alors que notre éléphant s'entête à être le premier et à passer par l'itinéraire le plus compliqué possible - quitte à devoir déraciner la végétation qui l'en empêche, impressionnant ! - certains s’arrêtent toutes les 5 minutes et ne repartent pas tant qu’ils n’ont pas eu une banane !

Ce petit tour terminé, quelques photos avec les éléphants et nous continuons notre aventure par une descente en rafting sur la rivière. Bien sûr, vous n’avez pas oublié que nous sommes pendant la saison sèche et le niveau de l’eau est au plus bas. L’adrénaline n’est pas vraiment au rendez-vous, on passe beaucoup de temps à pagayer et les rapides sont trop peu nombreux. Mais c’est l’occasion de faire de grosses batailles d’eau entre bateaux et de bien rigoler, le paysage est magnifique !

 
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Notre dernier jour à Chiang Mai nous permet de visiter deux temples très intéressants : le Wat Phra that Doi Suthep et le Wat Phra Singh. Si le premier permet d'avoir une vue magnifique sur la ville, certains pourraient être découragés par les 309 marches qu'il faut monter pour arriver au temple. Quant au second, nous le visitons au coucher du soleil et la lumière rouge illuminant ces espaces sacrés rend l'ambiance particulièrement agréable.

Nous ne nous attardons pas et allons faire un tour au marché de nuit de la ville bondée. Celui du dimanche est très impressionnant de par sa taille, mais on retrouve à peu près les mêmes objets d'artisanat à travers les stands. On regrette un peu d'avoir du mal à traverser la route en tant que piétons : les voitures et les véhicules à deux roues ne s'arrêtent pas, même sur les passages piétons. En tout cas, on trouve l'ambiance de Chiang Mai plus agréable que Bangkok, malgré la pollution toujours très présente et on ne regrette pas notre choix de passer quelques jours dans la capitale du nord...

 
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Bien reposés par une bonne nuit de sommeil, nous prenons notre petit déjeuner et nous ne tardons pas pour nous remettre en piste. Encore une longue journée de marche nous attend, et la température ambiante ne semble pas baisser.

Nous suivons notre guide, traversant des ruisseaux, grimpant entre les bananiers, tous concentrés sur nos pas. Nous croiserons seulement une belle vipère et une araignée digne d’un film de science fiction. Nous nous rafraichissons au fil de l’eau et profitons de la nature. Le repas de midi nous est servi dans un petit village en contrebas d’une belle cascade.

Nous nous enfonçons au fur et à mesure dans la jungle, des arbres immenses recouvrent la forêt tropicale qui renferme de nombreux cris non identifiables... Serait-ce des barrissements d'éléphants qui résonnent autant? La brume s'étend sur la végétation, nous recouvrant par la même occasion d'une atmosphère étrange...

Nous posons nos bagages après pas moins de 5 heures de marche, nous nous installons dans un camp de bambou, près d’une rivière. Le temps de piquer une tête, de se doucher, la nuit tombe déjà. 

Nous nous éclairons à la lampe de poche, jusqu'à ce que les hommes se mettent en tête d'allumer un feu. Quelque-uns partent chercher du bois, il est tellement sec qu'il ne faut pas longtemps pour que les flammes se répandent dans le foyer. Pour l'ambiance, le feu, perdu au milieu de la jungle, c'est sympa, mais personne ne peut maintenant approcher à moins de 10 mètres tellement il fait chaud !! 

 
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Nous partons dès le matin à la découverte de la ville. Un tuk-tuk se propose de nous accompagner à la journée, et vu le tarif que l'on arrive à négocier, on n'hésite pas à profiter de l'offre. Mais on ne sait pas par où commencer ! 

Notre pseudo guide nous propose de nous emmener au Tigers Kingdom, le royaume de tigres... On lui pose quelques questions au sujet de l'éthique du lieu, mais il nous assure que les tigres sont en bonne santé et ne subissent aucun mauvais traitement. On se rend finalement sur place pour juger par nous-mêmes...

Sans doute parce-qu'il est encore tôt, il n'y a pas beaucoup de touristes dans le parc. Nous en profitons pour approcher les bébés tigres. Simples mesures de précaution, nous devons enlever nos chaussures, nous laver les mains et ne pas toucher la tête des minounes pour ne pas leur transmettre de bactéries. D'humeur joueurs, ils s'amusent à nous grimper dessus et nous sommes vite attendris... On les imaginerait bien ronronner à côté de nous sur le canapé du salon... Mais à priori, ils vont grossir pas mal, dès leur première année... Ah bon?

Quant aux gros chats, ils sont beaucoup plus impressionnants !! Les enclos semblent trop petits et on aimerait bien qu'ils aient plus de place pour vagabonder. Les approcher n'est, d'ailleurs, pas sans danger. Les responsables n'hésitent pas à répondre à nos interrogations. Certains comportements sont effectivement à éviter : pas de geste brusque, pas de caresse sur les pattes, pas de câlin sur la tête, ce qui pourrait les surprendre et les amener à se défendre... Ils nous précisent que ces tigres ont été élevés en captivité, ils ne pourraient pas survivre dans la nature. Mais leur instinct de félins est toujours en eux, bien qu'altérer par la présence quotidienne des touristes auxquels ils sont habitués... Les responsables savent-ils reconnaître les signes d'excitation de certains tigres? En tout cas, il est évident que le risque zéro n'existe pas...

Malgré le fait que les animaux soient enfermés, on ne remarque pas de mauvais traitement - les tigres ont par ailleurs l'air en bonne santé - mais nous n'avons pas assisté à l'heure du repas, et nous n'arrivons pas à nous imaginer ce que peut être le parc en plein milieu de l'après-midi, au plus fort de sa fréquentation... 

 
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Nos sacs à dos sont enfin prêts, nous laissons le reste de nos affaires à l’hôtel et nous partons de bonne heure pour 3 jours de trek autour de Chiang Mai. Nous faisons la connaissance de l’ensemble de notre groupe. Nous sommes 13, 2 canadiens, 2 américains, 2 anglais, 2 holandaises, 2 israéliens, 1 sud africain et nous.

Après le petit déjeuner, nous voilà tous entassés dans le pick-up et nous nous arrêtons en premier lieu dans une ferme d’orchidées, tout proche du royaume des tigres. Les fleurs, ce n’est pas trop notre truc, mais il faut avouer que c'est agréable à voir, toutes ces couleurs et les papillons qu’elles attirent.

Nous devons continuer notre route pour la ferme aux serpents... Tsss, à présenter comme ça, c’est pas terrible, mais en vrai… c’est encore pire ! Il y a plein d’espèces, dont les noms ne nous rassurent pas du tout, enfermées dans des cages qui tiennent à peine debout. Quant au personnel, il s’amuse à effrayer les visiteurs en leur chatouillant discrètement le mollet avec un morceau de bois, ou en leur lançant une corde imitation serpent sur les épaules. Combien de personnes a-t-on entendu hurler ?? Le spectacle qui suit n’est guère mieux !! Les serpents ne pensent qu’à s’évader dans le public, tout le monde remonte d’un rang à chaque fois, si bien qu’à la fin, il n’y a plus de place au dernier ! Si quelqu’un montre qu’il a peur, les dresseurs s’amusent comme des petits fous à le traumatiser davantage. Sans compter que les serpents essayent de mordre violemment les dresseurs lorsque ces derniers les ramènent sur la piste, l’un d’entre eux a d’ailleurs un doigt en moins (est-ce une coincidence ??) Bref, nous ne sommes pas emballés du tout, mais cela a au moins servi à rapprocher le groupe et à se moquer les uns des autres :)

Nous allons ensuite jusqu’à un village où on peut trouver des femmes au long cou. Nous faisons plus ample connaissance avec l’une d’entre elles. A notre demande, elle chante et joue d’un instrument qui ressemble à une guitare, et malgré son anglais hésitant, on est arrivé à se comprendre un peu pour échanger sur leur quotidien. Elle nous explique aussi comment elles en viennent à porter, anneau après anneau, ce lourd collier en cuivre qui leur allonge le cou... Les enfants se tiennent sagement à l'arrière, tandis que certaines sont occupées à tisser et d'autres confectionnent de petits bijoux... 

Nous mangeons tous ensemble et nous apprenons à nous connaître. Nous rigolons, mais c’est sans doute parce que nous ne savons pas encore ce qui nous attend pour l’après-midi. Bâtons de bambou en main, nous entâmons une longue montée à travers la jungle. Cela va durer plus de 3 heures, mais avec la température ambiante, autour de 35°, cela semble interminable. Les dizaines de litres d’eau nous ont à peine rafraichis, l’air est quasi-irrespirable par endroit. Eh oui, nous n’avons pas choisi la meilleure saison pour faire ce trek, il fait beaucoup trop chaud, la terre est sèche de ne pas avoir eu de pluie depuis longtemps, nos vêtements sont trempés comme si on était passé sous la douche, mais pourtant notre motivation peine à s’effriter. Divisés alors en 2 groupes, nous montons péniblement, sans savoir quand s’arrêtera notre calvaire. A plusieurs endroits, tout est récemment brûlé, ou fume encore. Lorsque nous arrivons enfin dans un petit village, composé seulement de quelques maisons en bambou, au milieu de nulle part, nous comprenons qu’enfin, nous allons  pouvoir poser nos sacs à dos. La délivrance ! Le temps de reprendre nos esprits, et des forces, on nous montre notre "hôtel" : une cabane, faite de bambous et de paille, bénéficiant d'une vue exceptionnelle sur la vallée, au sein d'un minuscule village. A l'intérieur, une douzaine de vieux matelas et autant de moustiquaires... 

On nous présente aussi la petite famille qui nous héberge pour la nuit et s’occupe de notre repas du soir. Seul le père parle anglais et s’occupe de traduire les échanges. Nous ne savons pas si cela est dû à la chaleur ou à l’énergie dépensée pour la montée, mais nous sommes tous euphoriques d’être enfin là. Là, au milieu de nulle part… Personne ne sait vraiment où nous sommes. Chacun prend une douche, c’est carrément irréel ce tuyau d’eau qui est là, entre ces quelques briques, et nous permet de voir la vallée, les poules et les bananiers tout en se douchant…

 
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Depuis l'aéroport, nous prenons un taxi pour nous amener dans le centre de la ville, sans savoir exactement à quel endroit nous allons atterrir. Le chauffeur nous conseille une guesthouse, mais nous finissons par nous installer à quelques rues de là, dans un hôtel tout confort pour 250 baths la nuit (c’est exactement ça, moins de 6 euros). Pour le prix, nous avons évidemment l’eau chaude, le ventilateur, la piscine et internet. Sans compter que Noo, à l’accueil, est vraiment prête à nous conseiller et nous aider.

Chiang Mai est une grande ville, nous retrouvons aussi la chaleur et la pollution qu’on avait du mal à supporter à Bangkok. Cependant, la ville semble plus agréable.